Avant de juger apprend donc cette histoire : c’est l’histoire d’un ignorant qui ignoré tout de la vie, un jour il passa près d’un marché noir ou les marchands était blanc, il s’arrêta et contempla l’univers et ses diversités de couleur et d’idiomes, un jour alors qu’il ne connaissait rien à la vie, il entendit une rumeur qui courrait sur autrui, bien qu’il ne connaissait pas la réel histoire car n’ayant entendu qu’une seule version de l’accusateur, il décida d’aller jugé par lui même alors qu’il ne connaissait rien à la vie, il commença à apprendre l’un des meilleurs comportement que nos prophètes et messagers nous avez déjà enseigné il y à bien longtemps mais qui pour beaucoup oublie les enseignements (signes de la révélation) et ce précipite par jugé autrui pensant qu’ils sont eux sur leurs bon droit, lorsqu’il arriva chez celui que l’on accusé à tort ou à raison ! Il lui posa la question avec une délicate sagesse, sans le tourmenté d’incessantes question. Lorsque la réponse fut entendu auprès de l’accusé, celui qui commencé à peine à comprendre les enseignements, compris en réalité qu’à force d’écouter à tort la majorité des habitants de la terre, l’on ferait partie du hadith concernant les trois juges deux en enfer et un aux paradis. (Tu devrais lire ce hadith, moi de mon côté je te pardonne en attendant pour tes fausses accusations fondées sur une seule version de l’accusateur et non pas de la seconde version également qui est celle de l’accusé), connais tu l’histoire des deux qui s’était indroduit auprès du roi David afin qu’il juge sur leurs affaires ? Ou bien celles des deux femmes ayant un enfant dont le prophète Salomon jugea avec sagesse d’en coupé à chacune une moitié (de l’enfant) ?. Ne réfléchissent ils donc pas sur le Coran, où ont ils des cadenas sur leurs cœurs ?. Réfléchis aux conséquences qui peuvent aboutir à juger autrui sur l’histoire d’une partie sans prendre en considération la deuxième version (partie) pour chaque histoire concernant autrui. Le vrai musulman est celui qui ne blesse pas son frère par la parole, la main ou le regard et la langue. Le faite de dévisager ton frère, ou de lui tiré la langue est déjà un mal bien acquis pour ta personne. Réfléchis correctement sur cette enseignement.
Le Shaykh et Qadhi Haouli Nauredine.