Est-il dangereux de jugé sans fondement ?

Louange à Allah Le Maître du trône glorieux, j’atteste qu’il n’y à nulle autre divinité digne d’adoration si ce n’est Allah et j’atteste que Mohammed est Son prophète et messager et j’atteste que Jésus est le fils de Marie qu’il est Son verbe mot et Son esprit, que le paradis est vrai et que l’enfer est vrai et que la paix et la prière d’Allah soit sur eux ainsi que sur leurs familles, leurs compagnons et ceux qui les auront suivie sur un chemin de rectitude.

Aide aux orphelins faites un Don si vous le souhaitez : https://www.le-coran.com/blog/donations/don-association-tessy-annee-4/

Sache que beaucoup d’hommes et de femmes se permettent de jugé autrui sans fondement réel, sans aucune sciences ni connaissance approfondie, ils se permettent de jugé sans connaissance c’est à dire qu’ils ne se basent que sur une version, la seule version de l’accusateur sans vouloir chercher à connaître ni comprendre la version de l’accusé [1], pourtant si bien que cela puisse être il ne l’accepterai pas pour eux-mêmes [2], comment ce fait-il qu’un être humain puisse porté un jugement non fondé par les circonstances et apparences irréel ?

[ 1 : les ont dit est un poison de conjecture qui est un péché : le faîte de conjecturer sur autrui, que l’on connaissent la personne ou non | Sourate 49 verset 12 : O vous qui avez cru! Évitez de trop conjecturer [sur autrui] car une partie des conjectures est péché. Et n’espionnez pas; et ne médisez[1-1] pas les uns des autres. L’un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? (Non!) vous en aurez horreur. Et craignez Allah. Car Allah est Grand Accueillant au repentir, Très Miséricordieux.]

[1-1 : https://hadeethenc.com/fr/browse/hadith/3772]

[2 : si une personne raconte à d’autres personnes que tu aurais fait quelques choses dont toi même tu n’es même pas encore informé car tu n’as rien fait, aimerais-tu que l’on te juge et te condamne à tord et à travers ? Comment pourrais tu prouver quoique ce soit si tu ne peux apporter une preuve qui puisse affirmé que tu n’étais pas à cet endroit, ni n’à fait ce que l’on voudrait te faire croire que tu aurais fait ou dit (comme les pervers narcissique), ou encore que l’on t’accuse à titre gratuit afin de te voir couler et écroué dans une taule toutes troué avec des taupes embarqué sur les toits de la cheminée comme les pervers religieux qui peuvent être des pervers narcissique et des narcotiques, c’est n’importe nawak ce qui est dit et dit, ce qui est fait et fait mais il te faut des témoins véridique pour pouvoir affirmé ce qui n’était pas possible de pouvoir prouver et ils sont au nombre d’abondances (Sourate 108 Verset 1 : Nous t’avons certes, accordé l’Abondance).


Est-ce que l’être humain accepterais qu’on lui fasse la même chose [1] ?…

[1 : Sourate 114 Verset 6 : qu’il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain”. | Il y à également les démons d’apparences humaines : Les Masculins et les Féminins et les démons invisible, les djinns invisible et les djinns d’apparences humaines visible : les féminines et les masculines, ainsi que les animaux, les volatiles. Nulle n’a le droit de leurs faire du mal et ils et elles peuvent nous faire du biens. Si en revanche ils causent une nuisance ils seront jugés. Quant aux animaux que nous mangeons et les volatiles nous pouvons toujours consommé leurs viande.


…Non, bien sûr que non il en serait bien au contraire dégouté que l’on ne puisse entendre sa version afin de pouvoir se défendre, n’est-il pas vrai qu’Allah est Le meilleures des justes et qu’Il est Le meilleures des juges ?

N’est-il pas vrai qu’Allah accordera la même choses à Ses serviteurs et servantes ?

N’avez vous donc aucun raisonnement, n’avez-vous pas peur de ce qu’Allah vous réservera pour le jour des comptes ?

Pensez-vous qu’il ne vous accordera pas un jugement équitable à vos actions de l’ici-bas ? Comme il est rapporté des érudits de l’islam la parole suivante : Comme tu fais on te fera et cet parole comme les érudits de l’islam l’on expliqué c’est dans l’au-delà qu’elle se fera, c’est à dire : Qu’Allah jugera les gens comme ils ont jugé autrui dans l’ici-bas, sans connaître les deux versions, sans qu’il n’y est de témoin pour témoigner en leurs faveurs [1]. N’avez vous pas peur des conséquences de vos actes ? Il est préférable pour l’être humain qu’il se repente et délaisse son propre mal, qui est un jugement mal fondé sur autrui, pensant le connaître, pensant connaître ses agissements, pensant connaître son intention réel, pensant tout savoir de lui à cause de son propre cœur épris par la rouille.

[1 : Alors qu’Allah est le meilleur des Juges et Il est Le meilleur des Témoins].

Lorsque l’être humain entend une parole d’un pervers [1] il l’as suit et l’ébruite à tout va et la répète sans fondement, il y prête foi et y croit sans condition ni contestation et il ne se fatigue pas de la divulguer et de la répété; Pour lui il n’a aucun doute à ce sujet, car l’être humain qui à rapporter ce premier mensonge à apporter ses preuves, des preuves qui peuvent être tantôt inventé et tantôt réel (pris par le mauvais passé d’une invention douteuse) de celui que l’on accuse sans fondement. Alors on se permet de le jugé à tord, et ont va vers lui et on le frappe à tord.

[1 : Sourate 49 Verset 6 : O vous qui avez cru! Si un pervers vous apporte une nouvelle, voyez bien clair de crainte que par inadvertance vous ne portiez atteinte à des gens et que vous ne regrettiez par la suite ce que vous avez fait.]

Alors que les juges sont aux nombre de trois, un aux paradis et deux dans le feu 🔥

Le Juge est aux nombre de trois. Un qui connaît l’histoire et qui juge avec équité en toutes justice celui-ci entrera aux Paradis. Et pourquoi entrera t’il aux Paradis ? Car il connaît les deux versions celle de l’accusé et celle de l’accusateur avec précision mais il connaît aussi les versions de chaque témoins s’il y en as eu au préalable. Sinon il juge selon les deux versions. Et surtout selon le Coran et les récits prophétique ainsi que les récits des compagnons (qu’Allah les agréés), des Tafsir et des Rectifications et enseignement d’un vrai Ghouraba. (Le communs peuple du mortels c’est pareil)

Un autre connaît une seule version sans connaître la seconde et il prononce son jugement injustement alors qu’il sait que faire cela et dire cela est injuste et pourquoi il juge ainsi ? Soit car il connaît son ami(e) et accepte sa seule parole qui lui suffit, soit pour en tiré un bénéfice de corruption soit pour d’autre raisons dans le mal. C’est pourquoi il ira en Enfer. (Le communs peuple du mortels c’est pareil)

Et le Dernier est un juge qui ignorent tout, des deux histoires et juge sans rien savoir, il juge dans l’ignorance et celui-ci ira également en Enfer. (Le communs peuple du mortels c’est pareil)

A votre avis ses deux derniers jugent qui iront en enfer ne sont-ils pas pervers, n’ont ils pas une perversion dans leurs cœurs pour se permettent un jugement hâtive [1] ?

[1 : ils et elles se presse de jugé, alors qu’Allah pardonne tout les péchés à celui qui s’était déjà repentie par le passé et le présent 🎁].

Que dire des gens du commun qui se permettent de jugé autrui sans aucune sciences/sans aucun savoir/ sans aucune connaissance [1] ? Ne sont ils pas tout autant pervers (al-fasiqoun), ne font ils pas partie des ignorants (al-Jahiliya) ? Bien sûr que si. Ils devraient se repentir avant de finir dans un abisse de feu et ne plus revenir à cet histoire sans connaître la version de celui que l’on accuse 🔥.

[1 : al-3ilm shar3i] <= apprenez ce que cela signifie de votre côté en Ijtihad (efforts de réflexion) pour avoir plus de compréhension par la permission d’Allah 3Azza wa Jal].

Dans la sourate 49 verset 6 Allah nous prévient en nous mettant en garde contre un type de pervers (les donneurs de mauvaise nouvelle qui pour certains est une bonne nouvelle) :

Ô vous qui avez cru ! Si un pervers vous apporte une nouvelle, voyez bien clair [de crainte] que par inadvertance vous ne portiez atteinte à des gens et que vous ne regrettiez par la suite ce que vous avez fait. Sourate 49 Verset 6.

Sourate 114 Verset 4 : contre le mal du mauvais conseiller, furtif, (le Djinns invisible, le démon invisible).

Alors lorsque l’on vous dit de vous écarté d’une histoire dont vous n’avez aucune connaissance réel et que vous doutez au début sur cet histoire puis qu’un autre ayant une maladie au cœur vous viens en vous répétant ce qu’il à lui même entendu, est-ce que pour vous ceci deviendrait une confirmation de ce que vous avez entendu et alors le doute s’en va ?, et vous y prêté foi ?, alors que dans la réalité vous n’avez toujours pas la seconde version de celui qui en es injustement accusé ?!.

Pensez-vous être sincèrement dans votre bon droit ?

«Et pourquoi, lorsque vous l’entendiez, ne disiez-vous pas: ‹Nous ne devons pas en parler. Gloire à Toi (ô Allah)! C’est une énorme calomnie›?» (Coran 24/16) [une calomnie est une médisance et une conjecture].

Selon Abû Hurayra (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui ) a dit :« Méfiez-vous des conjectures car elles sont les pires mensonges. Ne vous guettez pas, ne vous espionnez pas[0], ne rivalisez pas entre vous [1], ne vous enviez pas[2], ne vous haïssez pas[3], ne vous éloignez pas les uns des autres et soyez ô serviteurs d’Allah des frères ». (Boukhâri et Mouslim)

[ 0 : Ne vous guettez pas et ne vous espionné pas signifie : Premièrement : N’epiez pas les gens chez eux et chez vos parents et chez votre ascendances et chez votre descendances alors que vous n’êtes pas chez vous], Ne vous espionné pas signifie en quelques circonstances sauf pour les personnes qui protègent avec leurs biens et leurs personnes, pas à travers nos téléphones, nos tablettes et nos ordinateurs car (nahnou) nous sommes des vrais Ghouraba c’est strictement interdit, n’oubliez pas la convention de Berne c’est un très grave outrage, vous devrez envoyer cela auprès du Ministre des finances Monsieur Jean-Charles Naouri afin qu’il commence à créé une Trésorerie Islamique Musulmanes et toutes les autres amendes seront transférés directement auprès du secrétaire des finances Monsieur Emmanuelle Macron qui écrira sur ordinateur portable les recettes des amendes ainsi que des recettes fiscales.

Continuer la correction à partir d’ici ne pas lire tant que ce n’est pas terminé :

Concernant la parole du Prophète (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui) : ” Méfiez-vous des conjectures “, al-Khatâbi, qu’Allah lui fasse miséricorde, entre autres, a dit : « Ce qui est voulu ici ce ne sont pas les conjectures sur lesquelles sont basés les jugements, mais plutôt les conjectures gratuites qui nuisent aux autres. Il ne s’agit pas non plus des idées qui traversent l’esprit et qu’on ne peut pas repousser.

Car le Prophète (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui) a dit : ” Allah pardonne aux membres de ma communauté le mal que leur âme leur inspire, tant qu’il ne se traduit ni en paroles ni en actes “»

Al-Qurtubi, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Ce qui est voulu par la conjecture ici, ce sont les accusations non fondées. C’est le cas par exemple lorsque l’on accuse un homme d’avoir commis une turpitude sans que rien ne justifie cette accusation. On peut en effet imaginer que telle ou telle personne fait telle et telle chose, et vouloir vérifier cela en les espionnant ; or cela est illicite. Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) :« ô croyants ! Evitez de trop conjecturer sur les autres, car il est des conjectures qui sont de vrais péchés. Ne vous épiez pas les uns les autres ! Ne médisez pas les uns des autres ! » (Coran 49/12) ».

Le verset indique que l’honneur du musulman doit être préservé et qu’il est interdit d’y porter atteinte. L’argument qui consiste à dire que l’on « cherche la vérité » ne tient pas car Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « Ne vous épiez pas les uns les autres ! » (Coran 49/12)». Quant à celui qui dit : « J’ai vérifié sans espionnage», on lui dit qu’Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : “Ne médisez pas les uns des autres ! ” (Coran 49/12).

‘Iyâd, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Certaines personnes se sont fondées sur le hadith de la conjecture pour interdire les efforts de réflexion et de déduction des jugements religieux (qui sont parfois basés sur des présomptions ou des suppositions). Cependant, les oulémas spécialistes ont dit que ce qui est voulu par le hadith ce sont les conjectures non vérifiés et non fondées sur des preuves ».

L’imam al-Nawawi, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « ce hadith n’a rien à avoir avec l’effort d’interprétation et il serait erroné de dire pareille chose ». Il dit dans son livre intitulé “al-Mufhim” : « La conjecture en matière de religion consiste à faire prévaloir un avis aux dépens d’un autre. Il a la même signification que la certitude. Cela n’est pas le sens voulu dans le hadith, ni dans le verset coranique ».Bien que le mensonge commis volontairement et qui n’est pas basé sur une conjecture soit pire que celui basé sur une conjecture, la parole du Prophète (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui) «elles sont les pires mensonges» indique que la conjecture interdite est celle qui n’est fondée sur aucune preuve. Il ne convient donc ni d’adopter cette conjecture, ni de la confirmer.

Celui qui confirme de pareilles conjectures est un menteur, voire pire qu’un menteur car le mensonge (en général) est une chose abominable et on n’a pas besoin de le décrier. L’auteur de ce type de mensonge est qualifié de pire menteur pour mettre l’accent sur sa dénonciation et son interdiction. De même, cela est une allusion au fait qu’on ne doit pas se laisser tromper par ce type de mensonge car celui-ci est souvent caché alors que le mensonge direct est clair.

Sa parole «car les conjectures sont les pires mensonges», signifie que ces conjectures ne sont pas conformes à la réalité, qu’il s’agisse d’une parole ou d’une action. Il est probable qu’il s’agisse d’une métaphore et que le sens voulu ici soit : ce qui découle de la conjecture.

Et vous commencez à comploté contre lui, vous jouez entre vous le rôle des hypocrites, attendant de savoir qui agira en premier contre cet personne ayant été injustement accusé afin de vous soutenir par la suite ! Mais qui vous soutiendra le jour du jugement des comptes ? Qui vous soutiendra pour vous empêché d’aller au feu de l’enfer ? Est-ce donc celui qui vous à annoncé cet parole calomnieuse qui vous sauvera de l’enfer ? Ou vous prononcera t’il ceci :

29 : 12 – Et ceux qui ne croient pas disent à ceux qui croient; “Suivez notre sentier, et que nous supportions vos fautes”. Mais ils ne supporteront rien de leurs fautes. En vérité ce sont des menteurs.

57 : 14. “N’étions-nous pas avec vous?” leur crieront-ils. “Oui, répondront [les autres] mais vous vous êtes laissés tenter, vous avez comploté (contre les croyants) et vous avez douté et de vains espoirs vous ont trompés, jusqu’à ce que vînt l’ordre d’Allah . Et le séducteur [Le diable]: vous a trompés au sujet d’Allah.15. Aujourd’hui donc, on n’acceptera de rançon ni de vous ni de ceux qui ont mécru. Votre asile est le Feu : c’est lui qui est votre compagnon inséparable. Et quelle mauvaise destination!

« Et quand tout sera accompli, le Diable dira : “Certes, Allah vous avait fait une promesse de vérité; tandis que moi, je vous ai fait une promesse que je n´ai pas tenue. Je n´avais aucune autorité sur vous si ce n´est que je vous ai appelés, et que vous m´avez répondu. Ne me faites donc pas de reproches; mais faites-en à vous même. Je ne vous suis d´aucun secours et vous ne m´êtes d´aucun secours. Je vous renie de m´avoir jadis associé [à Allah]”. Certes, un châtiment douloureux attend les injustes [les associateurs].” » Sourate Ibrahim verset 22

Connaissez-vous cet histoire :

«Ceux qui sont venus avec la calomnie sont un groupe d’entre vous. Ne pensez pas que c’est un mal pour vous, mais plutôt, c’est un bien pour vous […]» (Coran 24/11) Ces mots divins résument les événements difficiles que vécurent les musulmans. Ces jours témoignèrent de troubles susceptibles de ruiner les gens et de rumeurs qui atteignirent le foyer du Prophète () visant à déformer son image pure gravée dans le cœur des croyants. En fait ces rumeurs ne ciblaient pas le Prophète et sa famille, mais attaquaient plutôt sa prophétie et son message.Cette affaire eut lieu suite à une bataille entre les musulmans et l’ennemi. Le Messager d’Allah () était sorti en compagnie de Aïsha –. Sur le chemin du retour, la caravane s’arrêta pour se reposer. ` Quant à Aïsha, elle attendait le moment du départ dans son palanquin. En palpant son cou, elle découvrit qu’elle avait perdu un collier que sa sœur lui avait prêté. Elle descendit donc, alors qu’il faisait nuit, pour le chercher. Elle ne savait pas que la caravane allait partir, que les hommes avaient préparé son palanquin en croyant qu’elle était à l’intérieur et que l’armée s’était mise en route la laissant seule en plein désert.Dés qu’elle trouva son collier, elle se précipita pour rattraper l’armée, mais il était tard. Elle ne trouva que les traces qu’ils avaient laissées. Elle se trouva dans un état de confusion et ne savait quoi faire. Puis, elle prit la décision de retourner à l’endroit de la caravane en attendant qu’on envoie quelqu’un pour la prendre. Elle demeura sur place et s’endormit.Le lendemain, Safwaan Ibn Al-Mo`attal As-Salmi -qu’Allah soit satisfait de lui- qui était chargé d’assurer l’arrière-garde afin de récupérer les objets perdus, vit une femme endormie vêtue de noir. Il sut qu’il s’agissait d`Aïsha –. Elle sentit sa présence et couvrit son visage. `Aïsha racontait: “Par Allah, il ne m’adressa aucune parole et je ne l’entendis dire que « Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons) ». Il descendit de son chameau et la laissa monter. Puis il la ramena en lui tournant le dos pour essayer de rejoindre la caravane l’après-midi.Quelques jours plus tard, des rumeurs tendancieuses et des attaques rancunières ciblèrent `Aïsha -. Ces rumeurs s’étaient propagées et avaient été tramées par `Abdullah Ibn Obay Ibn Saloul, le chef des hypocrites. Ces mensonges se sont répandus parmi certains musulmans qui les accueillirent naïvement et les transmirent à d’autres. Parmi eux figuraient Hassaan Ibn Thaabit Al-Ansaari, le poète du Prophète (), Mistah Ibn Othaatha -qu’Allah soit satisfait de lui-, l’un des parents d’Abou Bakr As-Sidiiq ainsi que Hamna Bint Jahch –, la cousine du Prophète () et la sœur de son épouse. Allah -Exalté soit-Il- a préservé les autres compagnons d’être impliqués dans des discussions à ce sujet. Leur situation et leurs paroles sont décrites par le Coran: «Et pourquoi, lorsque vous l’entendiez, ne disiez-vous pas: ‹Nous ne devons pas en parler. Gloire à Toi (ô Allah)! C’est une énorme calomnie›?» (Coran 24/16) Une fois que ces rumeurs parvinrent au Prophète, , il en fut abasourdi. Imaginons les multiples sentiments et la longue souffrance que vécut le Prophète () lors de ces événements. Il était le témoin de calomnies qui atteignaient sa réputation et offensaient son honneur sans qu’il ne puisse y mettre un terme.De son côté, `Aïsha n’était pas du tout au courant de ces rumeurs, ni des diverses interprétations des gens car elle était malade pendant toute cette période. Néanmoins, elle sentait un changement dans le comportement du Prophète à son égard. Elle ne trouvait plus chez lui le tendre toucher, les mots doux et les sentiments débordants. Soudain, elle se rendit compte du changement d’attitude du Prophète () qui ne s’attardait guère auprès d’elle et qui se contentait de prendre de ses nouvelles; elle essaya alors de trouver une justification à ce brusque changement.Un jour, `Aïsha sortit avec la mère de Mistah dans le désert afin de faire ses besoins naturels, comme c’était l’habitude des femmes en ce temps-là. La mère de Mistah se prit les pieds dans sa robe, et dit: «Malheur à Mistah». `Aïsha, qu’Allah soit satisfait d’elle, réprouva sa parole et lui dit: «Quelle mauvaise parole! Insultes-tu un homme qui a combattu lors de la bataille de Badr?» A ce moment, la mère de Mistah l’’informa des rumeurs que faisaient courir certaines personnes.Ce fut pour elle une surprise totale et un immense drame à faire se fendre le cœur des hommes. Quelle pouvait être l’attitude de celle qui n’avait que seize ans lorsqu’elle entendait qu’on portait atteinte à ce que la femme vertueuse a de plus précieux, d’autant plus qu’elle était l’épouse du Khalil, Prophète rapproché d’Allah ()?Il était normal que cette situation affecte la santé de `Aïsha — et aggrave sa maladie. Pourtant, cela ne l’a pas empêchée de chercher les causes de ce récit fabriqué de toutes pièces. Dés son retour chez elle, elle demanda au Prophète () la permission de se rendre chez ses parents. Quand sa mère la vit, elle lui demanda la raison de sa venue. `Aïsha lui dit ce qu’on racontait sur elle. Sa mère, voulant la réconforter, lui indiqua que cette calomnie était une sorte de jalousie vu sa beauté et sa position auprès du Prophète ().Il n’y avait maintenant aucun doute que les gens parlaient d’elle. Sa mère vint d’ailleurs lui confirmer. Il était très dur pour elle d’imaginer que les gens tenaient de tels propos à son égard.Le Prophète () attendit longuement la révélation. Puis, il consulta Ossaama Ibn Zayd et `Aly Ibn Abi Taaleb. Ossaama lui affirma qu’il était certain de l’innocence de l’épouse du Prophète, . Quant à `Aly, il sentit la souffrance morale du Prophète (). Il voulut le réconforter en lui suggérant de faire le choix suivant: Ou bien la répudier puis s’assurer de son innocence ultérieurement et dans ce cas là il pourrait l’épouser de nouveau, ou bien se renseigner auprès de Barira, l’esclave du Prophète ().Le Prophète () convoqua Barira et lui dit: «As-tu vu chez Aïcha de quoi susciter les soupçons?» Elle lui répondit: «Non par Celui qui t’a envoyé avec la vérité, je n’ai vu chez elle aucun défaut.» Ensuite, elle lui mentionna la jeunesse de `Aïsha au point qu’elle pouvait oublier la pâte à pain et que la brebis vienne la manger. Puis le Prophète () demanda à Zaynab Bint Djahch qui répondit: «O Messager d’Allah, je préserve mon ouïe et ma vue du mensonge. Je ne connais d’elle que du bien»Ces témoignages étaient suffisants pour que le Prophète () monte sur le Minbar et demande aux musulmans de lui permettre de tuer le chef de cette sédition `Abdullah Ibn Obay Ibn Saloul en disant: «O les musulmans qui me permet de tuer un homme qui a causé du tort aux membres de ma famille? Par Allah, je ne connais de ma famille que du bien. On a mentionné un homme, à savoir Safwaan Ibn Al Mo`attal, dont je ne connais que le bien. Il n’entrait pas chez moi sans que je ne sois avec lui.» Sa`d Ibn Mo`aadh -qu’Allah soit satisfait de lui- se leva et dit: «O Messager d’Allah, je te le permets. S’il fait partie des Aws, je le tuerai. S’il fait partie de nos frères Al-Khazradj, donne nous un ordre et nous exécuterons cet ordre.» Sa`d Ibn `Obaada, le maître des Khazradj, poussé par son esprit de clan dit à Sa`d: «Tu mens, tu ne pourras pas le tuer.» Les deux tribus entrèrent en conflit et le diable était sur le point de leur inspirer le combat. Le Messager d’Allah () dut ramener le calme entre eux.Une fois que l’affaire eut atteint ces limites, il fut impératif de se rendre chez `Aïsha — pour parler face à face du problème et connaître sa position. Le Prophète () rentra chez elle alors qu’une femme des Ansaars était présente. Le Prophète () s’assit et prononça les deux témoignages de foi puis dit:«O ‘Aïsha, il m’est parvenu telle et telle chose sur ton compte ; si tu es innocente, Allah, Exalté soit-Il, t’innocentera ; si tu as commis quelque faute, demande pardon à Allah et repens-toi auprès de Lui. En effet, si le serviteur reconnaît son péché puis se repent auprès d’Allah, Exalté soit-Il, Allah, Exalté soit-Il, accepte son repentir.»Quand elle entendit ses paroles, elle sécha ses larmes puis se tourna vers son père et dit: «Répondez aux paroles du Messager d’Allah». Il dit: «Par Allah je ne sais quoi dire au Messager d’Allah ()» Puis elle se tourna vers sa mère qui donna la même réponse que son père. A ce moment elle dit: «Vous avez écouté ce récit qui a trouvé un écho dans vos âmes et vous y avez cru. Si je vous dis que je suis innocente, et Allah, Exalté soit-Il, sait que je le suis, vous ne me croirez pas. Si j’avoue cette affaire, alors qu’Allah sait mon innocence, vous me croirez. Par Allah, je ne trouve rien d’autre à vous dire que la parole du père de Youssof, :« [Il ne me reste plus donc] qu’une belle patience! C’est Allah qu’il faut appeler au secours contre ce que vous racontez!› » (Coran 12/18)

Ensuite `Aïsha, qu’Allah soit satisfait d’elle, retourna s’allonger sur son lit en se rappelant les péripéties depuis le début de cette histoire et était convaincue que le Messager d’Allah () finirait par faire un rêve qui l’innocenterait. Cependant Allah -Exalté soit-Il- voulut rendre le souvenir de Aïcha éternel. Ainsi, neuf versets clairs ont été révélés au Prophète () porteurs de son innocence éternelle ; ces versets constituèrent autant de preuves irréfutables de sa vertu et de sa chasteté et révélèrent la réalité des hypocrites. Allah le Très Haut dit:«Ceux qui sont venus avec la calomnie sont un groupe d’entre vous. Ne pensez pas que c’est un mal pour vous, mais plutôt, c’est un bien pour vous. A chacun d’eux ce qu’il s’est acquis comme pêché. Celui d’entre eux qui s’est chargé de la plus grande part aura un énorme châtiment. » (Coran 24/11) Le malheur s’est finalement dissipé et la peine du Messager () s’est transformée en joie. Il lui dit: «Réjouis-toi `Aïsha, Allah, Exalté soit-Il, t’a déclarée innocente. Sa mère lui dit: “Va le rejoindre”. `Aïsha — dit par reconnaissance de la révélation de son innocence par Allah, Exalté soit-Il, a et par confiance en la place qu’elle occupait dans le cœur du Prophète (): «Par Allah je n’irai pas à lui et c’est Allah Seul que je loue.»Abou Bakr As-Siddiq voulut punir Mistah Ibn Othaatha pour avoir porté atteinte à l’honneur de sa fille et il jura de ne plus lui verser de pension. Cependant, la révélation lui indiqua meilleur que cela à travers ces versets:«Et que les détenteurs de richesse et d’aisance parmi vous, ne jurent pas de ne plus faire des dons aux proches, aux pauvres, et à ceux qui émigrent dans le sentier d’Allah. Qu’ils pardonnent et absolvent. N’aimez-vous pas qu’Allah vous pardonne? Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux! » (Coran 24/ 22) Abou Bakr, qu’Allah soit satisfait de lui, dit alors: «Si, par Allah, j’aime qu’Allah me pardonne.» Il revint sur ce qu’il avait dit et déclara: «Par Allah, je ne l’en priverai jamais»D’ailleurs, le récit de la calomnie dont fut accusée As Siddiqa, fille du Siddiq n’est qu’un maillon dans la chaîne des complots contre la Da`wah et les tentatives de déformation de ses symboles. Et ceci car l’ennemi sait que cette religion repose sur l’exemple et le modèle. S’il réussit à déformer ce modèle et ce guide, il parviendra à son but. Quand prendrons-nous conscience de cette vérité?

45 : 6 – Voilà les versets d’Allah que Nous te récitons en toute vérité. Alors dans quelle parole croiront-ils après [la parole] d’Allah et après Ses signes?

Et un hadith dont m’a mémoire me fait défaut d’où il peut se trouver, il y est dit :

il n’est pas autorisé de faire du mal à un mécréant, un musulman, un croyant et un pervers.

sache qu’il y à plusieurs sortes de pervers :

  • Le pervers Religieux
  • Le pervers Sexuel

Le pervers Religieux est celui qui innove dans la religion.

Tandis que le pervers sexuel sont de plusieurs sortes, il y à :

  • Celui qui parle de sexualité et pratique la Fornication avec une femme qui n’est pas sa/ses promises. (Grand péché= 100 coups de fouets).
  • Celui qui parle de sexualité mais ne pratique pas la Fornication (c’est un Petit péché qui est pardonné)
  • Celui qui l’écrit et celui qui lis (Grand péché)
  • Celui qui regarde (Grand péché)
  • Celui qui se dirige avec sa monture ou ses pieds et ses véhicules vers la Fornication.
  • Celui ou celle qui se masturbe c’est autorisé (licite/halal).
  • Celui qui l’entend et ne s’en détourne pas c’est comme de l’espionnage et le faite d’epiez (la jouissance du voisinage, sauf les voisins proches qui entendent malgré eux c’est déjà pardonné et pour nous même si on aurait une envie avec)
  • Celui qui indique un lieu de Prostitution
  • Celui qui corrompent une vierge pour la fornication sauf si elles veulent d’elles même faire l’amour, coucher avec la personne de son choix,
  • Celui qui détourne un mineur non-émancipé pour la fornication

Repentissez-vous auprès du Meilleur des orgeuilleux, et Il est Le meilleur des orgeuilleux car Il aime lorsque l’on se repente à Lui.

Et ceux qui se sont repenti d’un mal, d’une mauvaise action, Allah leurs efface et si Allah leurs efface cet mauvaise action c’est qu’elle n’a en réalité jamais existé auprès de Lui, mais elle reste implanter dans le cœur et les consciences des gens afin Qu’Allah les mettent eux à l’épreuve et seront-ils capable de supporter cet épreuves en ce détournant de la conjecture, de la calomnie mensongère ?

n’est il pas vrai qu’elle devient un mensonge si Allah à déjà effacé cela du passé de son serviteur ?

Lorsqu’un Président ou un Roi donne son absolution à une personne de son peuple, n’est il pas vrai que nulle n’a le droit d’en reparler et que s’ils en reparle et que cela s’entend auprès du Président ou du Roi du pays, qu’ils risquent la prison où la mort ?

Alors comment ce fait-il que l’être humain à plus peur des châtiment que son Roi ou Président peut lui faire subir à continuer de répété ce qui à été interdit de divulguer et qu’il n’a aucune crainte des conséquences qu’il encoure devant Son Seigneur Le Très Haut ?

Hadith Qudsi 33 : Fais-ce que tu veux, car je t’ai pardonné.

Abu Hurayra (Qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui), parmi les paroles qu’il rapporte de son Seigneur (puissant et sublime) à dit :

« Mon serviteur a commis un péché puis il a dit : « Mon Seigneur pardonne-moi mes péchés » Allah, béni et exalté soit-Il répond alors : « Mon serviteur a commis un péché et a su qu’il avait un Seigneur qui pardonne les péchés et qui châtie celui qui les commet » ; mais le serviteur recommença à pécher et demanda à nouveau : « Seigneur pardonne-moi mes péchés. » Et Allah, béni et exalté soit-Il, renouvela Son pardon : « Mon serviteur a commis un péché et a su qu’il avait un Seigneur qui pardonne les péchés et qui châtie celui qui les commet. » Puis le serviteur pécha à nouveau et à nouveau il implora : « Seigneur pardonne-moi mes péchés. » Et Allah, exalté et béni soit-Il, proclame : « Mon serviteur a commis un péché et a su qu’il avait un Seigneur qui pardonne les péchés et qui châtie celui qui les commet, qu’il fasse donc ce qu’il veut. » C’est-à-dire : « tant qu’il fera suivre ses fautes d’un repentir, Je lui pardonnerai »

(Rapporté par Muslim et par al-Bukhari)

Et nous terminerons par le Hadith an-Nawwawi numéro 38 : L’amour d’Allah :

Selon Abou Houreira (qu’Allah l’agrée) l’Envoyé d’Allah (que la paix et la prière d’Allah soit sur lui) a dit:« Allah Très Haut a dit : A celui qui nuit à un de mes porte-parole, je déclarerai la guerre. Rien de ce qui M’est agréable ne rapproche autant Mon serviteur de Moi, que l’accomplissement des obligations que Je lui ai imposées. Mon serviteur ne cessera de se rapprocher de Moi par des pratiques surérogatoires jusqu`a ce que je l’aime, et, lorsque je l’aimerai, Je serai l’oreille par laquelle il entendra, le regard par lequel il verra, la main avec laquelle il empoignera, le pied avec lequel il marchera. S’il Me sollicite, certes, Je lui accorderai Ma faveur, s’il implore Ma protection, certes, Je la lui accorderai. »

Shaykh Haouli Nauredine.